"En réalité je ne suis jamais né et en vérité je ne peux pas mourir" (Artaud)

dimanche 5 juin 2011

Qui perd gagne


Après une quinzaine accrochée au fauteuil engloutissant toutes les substances interdites à ma portée, et au terme d'une finale d'apothéose compulsive, eh oui, le tennis, j'adore mais ça met mes nerfs à rude épreuve, je vais enfin pouvoir reprendre une vie normale et les mesures de retorsion devenues maintenant vitales si je ne veux pas arpenter les plages les bourrelets au vent.
Belle finale des deux amis, le gagnant qui présente ses excuses au "perdant", il entre pourtant dans l'histoire avec ses 6 victoires, comme le beau Bjorn qui m'avait tellement émue que je n'ai jamais loupé une finale depuis.
C'est beau l'amitié.

4 commentaires:

  1. Entre nous, c' est vraiment la plastique des raquettes et l'esthétique du fair play qui te motive?

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  2. Même si ses pantacourts - injustement abandonnés - ne me laissait pas indifférente, j'admire aussi l'expression de son fessier sur un amorti réussi. Ah, Nadal, un physique de néanderthal ibère dans un corps de danseur! On ne va quand même pas rater ses bons coups.

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