"En réalité je ne suis jamais né et en vérité je ne peux pas mourir" (Artaud)

mardi 4 janvier 2011

Un año más

Relativismo

Raymon Aron, destacado historiador francés del pasado siglo, escribió “la historia es la reconstitución, por y para los vivientes, de la vida de los muertos. Nace, por lo tanto, del interés actual que manifiestan unos hombres que piensan, sufren y actúan por explorar el pasado”. En efecto, la exploración de su pasado franquista es en el caso de España un camino que queda todavía por recorrer no sólo en búsqueda de la memoria sino también la oportunidad de acabar por fin con el chocante relativismo que rodea la época franquista, como si el franquismo fuera un opinión que fracturó la sociedad española y que se tratara de una dictadura light que ha dejado desde entonces que vivieran en desigualdad de condiciones los ganadores y los perdedores de aquella época, o sea los asesinos y sus victimas ya que asesinatos hubo y muchas victimas carecen todavía de digna sepultura mientras que la democracia ha ido manteniendo en sus cargos a destacados fascistas que han ido consolidado corruptas tramas económicas y obstaculizando la emancipación de ese país y por la cual se necesita muchos más jueces como Balthazar Garzón.
¿Qué futuro se esta ahora gestando si resulta imposible abrir las foses comunes de la memoria?

5 commentaires:

  1. Il était une fois un juge espagnol, prénommé Balthazar, le premier roi vraiment utile à ce pays, qui avait décidé de faire ouvrir les fosses communes de la guerre civile afin que les morts puissent enfin être identifiés par les leurs et recevoir une sépulture digne d'un régime démocratique.
    Le roi Balthazar n'était pas un guignol et sa biographie en atteste: arrestation de Pinochet venu se faire opérer à Londres - trop marrant le gueule de Thatcher, sa copine des Malouines, enfin les Falklands, quoi - des mandats internationaux à n'en plus finir à l'encontre des dictateurs et assassins de tous pays...
    Le visage de l'espoir et de l'audace, l'avocat de la mémoire historique. Mais voilà, c'était sans compter tous les personnages puissants et rances qui gouvernent encore aux destinées de ce pays et baignent dans une corruption digne des républiques bananières, l'autre cible du juge. Destitution! fut leur réponse.
    Et destitué il partit pour la Tribunal Pénal International, acclamé à son départ et acclamé à son arrivée. Ils ont bien compris au TPI qu'ils ont eu une sacré chance qu'il accepte finalement d'être des leurs.
    Ici, la vie continue: les riches sont riches et les autres sont leurs esclaves.
    Je n'ai jamais envoyé ce qui devait être une lettre au journal El País. Pourquoi faire?
    Encore faut-il que les perdants lèvent le poing.

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  2. Merci, c' est malin!J' ai mis une heure à déchiffrer pour me rendre compte que tu avais posté la traduction en com! :-)
    Tu vois, tu as fini par l' envoyer cette lettre! joli coup de gueule (il n' y a pas à dire!)
    je crois vraiment que tu as une plume de journaliste spécialisée dans la politique!
    C' est un pamphlet intelligent!

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  3. Ce n'est pas la traduction, donc il faut relire attentivement! Ha!
    C'est la méchanceté qui me nourrit.
    Comme tu es patiente avec moi...

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  4. Je ne sais pas pourquoi, mais ta " méchanceté" me donne envie de t' embrasser, c' est peut être, parce qu' elle ne se trompe pas d' ennemis!

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